M. Roux de Bézieux ajoute : « Il y a une forme de dogmatisme au sein de certains pays, que je regrette. » Parlait-il de vous ?
C'est la fin d'une époque dont vous êtes la queue de comète, incapables de sortir des impasses libérales que vous avez vous-mêmes créées.
Pourtant, un autre monde est possible ! Pour protéger les familles, les communes, les industries, les PME, pour l'intérêt général, nous avons besoin d'une rupture républicaine. L'énergie n'est pas une marchandise, mais un bien commun. Pillage et gaspillage du marché ont assez duré. Face à la crise, l'heure est à la maîtrise publique et à la planification écologique, dont nous parlons avec Jean-Luc Mélenchon depuis tant d'années.
Un système français public est nécessaire, pour lequel la sortie du marché européen de l'électricité est impérative. Assez de mauvaise foi ! Pour échanger de l'électricité avec nos voisins, nous n'avons pas besoin d'un marché européen, mais de lignes à haute tension, qui existent et continueront d'exister après le marché européen.