Vous n'avez pas remis en cause, madame la Première ministre, cet accord politique honteux datant de novembre 2011 – je le rappelle au cas où vous n'auriez pas la mémoire très précise. Depuis qu'il dirige le pays, le président Macron ne l'a pas remis en cause : il l'a appliqué à la lettre, scrupuleusement, en fermant la centrale de Fessenheim et en annonçant, en novembre 2018, la fermeture de quatorze réacteurs nucléaires.