Pardon de faire mon analyse devant vous, mais cette réflexion me semble frappée au coin du bon sens. Les faits sont graves et concordants, comme on dit, et vous devriez vous interroger : comment, d'un débat sur l'aide aux victimes, en vient-on à débattre du contrôle des policiers ? C'est inquiétant. Ce n'est pas seulement la notification des droits qui vous intéresse. Ce que vous voulez, c'est une surveillance accrue des policiers.
Je réitère donc mon avis défavorable.