M. Bernalicis, qui comprend finalement bien ce que veut faire le Gouvernement, propose donc une solution complexe et étatisée : il voudrait que le public, plutôt que le privé, garantisse le risque à 100 %.
Cet article n'a rien d'idéologique, il n'est que pratique. Il permet de lutter contre cette criminalité nouvelle que nous connaissons à peine. Je vous encourage donc fortement à rejeter les amendements de suppression ; les adopter ne rendrait vraiment pas service aux entreprises, aux hôpitaux, aux PME et plus généralement à tous les particuliers de la République. Je rappelle que plus de la moitié des escroqueries individuelles sont déjà des cyberattaques.