Les rançongiciels ne doivent pas devenir la face cachée d'une nouvelle délinquance : nous devons absolument savoir ce qui se passe. Les dépôts de plainte doivent donc devenir systématiques, ce qui permettra d'enrichir les bases de renseignement non seulement des policiers et des gendarmes mais aussi des magistrats, afin de mieux combattre ces cyberdélinquants.
Cet article 4 dit le contraire de ce qu'on veut lui faire dire : il n'accorde pas un blanc-seing aux assurances – cela, c'est ce qui se passe aujourd'hui. En votant les amendements de suppression, vous voteriez pour voir cette délinquance financière prospérer ! La solution ne réside pas non plus dans le système étatisé que propose M. Bernalicis – j'aurais pu trouver un autre mot, mais j'ai voulu vous êtes agréable.