Hormis le Rassemblement national, qui pense qu'il faut faire autre chose – « y a qu'à, faut qu'on » –, tout le monde dans cet hémicycle s'accorde à reconnaître que le problème est réel. Pour le résoudre, M. Bernalicis propose une solution différente de la nôtre : comme vous n'aimez pas l'assurance, vous proposez une sorte de fonds d'indemnisation public, avec un nouvel impôt, puisqu'il faut bien l'alimenter – et qu'on ne veut pas subventionner les entreprises du CAC40, le ministre de l'intérieur a raison sur ce point .