En accord avec la ministre de l'Europe et des affaires étrangères, sous l'autorité du Président de la République et de la Première ministre, nous octroierons des titres de séjour à ces femmes. Si elles déposent une demande d'asile en France, c'est l'Ofpra, l'Office français de protection des réfugiés et apatrides, qui l'étudiera, mais la volonté politique compte dans ce domaine et nous souhaitons bien qu'elles trouvent l'asile sur le territoire national. Les services de la ministre des affaires étrangères, absente aujourd'hui, vous auraient précisé que nous terminons les discussions relatives à leur sécurité.