Il nous a raconté l'enfer qu'il a vécu en Libye avant de risquer la mort en traversant la Méditerranée. Il fait partie des 234 rescapés de l'Ocean Viking que les sénateurs Marie-Arlette Carlotti et Guy Benarroche et moi-même avons rencontrés dimanche, dans la zone d'attente temporaire de la presqu'île de Giens.
Après le refus honteux du gouvernement néofasciste italien, la France se devait d'être au rendez-vous. Nous avons salué la décision du Gouvernement pendant que d'autres, adeptes de la théorie du grand remplacement, auraient souhaité qu'on abandonne ces personnes.