Que n'aurais-je pas entendu sur tous les bancs si je m'étais présenté devant la représentation nationale avec des crédits en baisse ? « Réjouissons-nous et tressaillons de joie » comme on l'entend dire dans d'autres enceintes, car le ministère de l'intérieur dispose de 15 milliards. La vraie question est de savoir ce que l'on en fait.