Je me réjouis de la création de la CPE à l'initiative du Président de la République. Le chancelier Scholz s'en est, lui aussi, félicité. Le fait que cette structure dispose déjà d'un agenda est positif. Comment assurer son avenir dans la durée, alors qu'elle est à la fois une antichambre de l'Union et une sorte de communauté à la carte ? Comment obtenir des résultats concrets, au-delà des échanges, si importants soient-ils, entre les pays concernés ?