Je vous félicite d'avoir réussi à placer mon nom dans chacune de vos phrases. Vous n'avez rien écouté de mes propos sur la police, ce qui vous permet de dire absolument n'importe quoi.
Monsieur le rapporteur, des réflexions sont menées, mais vous ne pouvez pas nier que l'accompagnement des agents fait défaut et que, dans les périodes de crise, on sollicite des personnes qui ne sont pas habituées à utiliser ce matériel, ce qui a des conséquences désastreuses : des gens sont blessés et les agents sont sanctionnés par leur hiérarchie et par l'IGPN. Certains d'entre eux ne sont plus en mesure, psychologiquement, de retourner sur le terrain. Il est nécessaire de protéger les victimes, mais vous ne pouvez pas vous contenter de vous abriter derrière cet argument, car de toute évidence le système dysfonctionne.