Je soutiens cet amendement. Lorsque l'État aide les centres communaux ou intercommunaux d'action sociale à payer la prime Ségur aux personnels concernés, les bénéficiaires ne dépendent ni de l'État ni de la fonction publique hospitalière. L'argument du rapporteur général ne tient donc pas. La vraie question est de savoir, s'il s'agit de métiers du soin, pourquoi ils sont exclus des mesures du Ségur. J'ignore combien il y a de centres médico-sociaux et combien de personnels ils emploient, mais il n'y a pas de raison de balayer cet amendement d'un revers de main.