Ce débat offre l'occasion au groupe Renaissance d'évoquer un amendement passé inaperçu lors de l'examen de la première partie du projet de loi de finances pour 2023. La contribution mise en œuvre à l'échelle de l'UE rapportera, en effet, plus de 7 milliards, qui financeront le bouclier tarifaire, qui limitera la progression des dépenses d'énergies des TPE et des PME. Ces amendements dégraderaient notre position en induisant un déficit de compétitivité.