Nous sommes tous d'accord sur l'importance de cette politique de santé publique, à laquelle le Gouvernement consacre 5 millions d'euros. Le bilan de l'expérimentation est très positif puisqu'elle a permis d'accompagner près de 800 000 femmes en trois ans. Nous continuerons, en 2023, à lutter contre la précarité menstruelle. Il n'y a donc pas d'intérêt à remettre un rapport sur cette question.