Il a pour objet la remise d'un rapport sur la numérisation des littératures régionales ultramarines qui ne font plus l'objet d'une diffusion commerciale. Certaines œuvres peuvent changer les mentalités, comme Les derniers jours d'un condamné, de Victor Hugo. Or, avant même la parution de cette œuvre, des auteurs créoles tel Eugène Dayot se battaient déjà contre la peine de mort. Les littératures créolophones françaises souffrent d'un manque de reconnaissance et ce patrimoine tend à s'effacer, alors que sa diffusion dans la population serait d'intérêt général.