C'est votre réponse qui est caricaturale, monsieur le rapporteur général : personne n'a dit qu'il fallait supprimer les entreprises ! En revanche, nous sommes effectivement favorables à une conditionnalité des aides.
Vous omettez d'évoquer les investissements délétères pour le climat réalisés par les grandes entreprises. C'est de cela qu'il s'agit, bien plus que des plans de sobriété énergétique. Dans l'exposé sommaire, nous citons l'exemple de BNP Paribas, premier financeur européen des énergies fossiles, premier financeur mondial de huit géants du pétrole et du gaz, dont TotalEnergies, et premier financeur mondial de l'exploitation du pétrole et du gaz dans l'Arctique.