On en a même rajouté en prolongeant les concessions en contrepartie d'investissements qui se sont d'ailleurs révélés fort rentables – sinon, les concessionnaires ne les auraient d'ailleurs pas faits. Nous sommes vraiment des zozos.
Vous dites qu'il y a un risque, monsieur le ministre délégué, ce qui est inexact. Ce n'est pas un risque mais une certitude : les contrats ont été tellement mal rédigés, au profit des concessionnaires,…