Au vu des difficultés que nous rencontrons en raison de la crise financière et de la crise climatique, nous proposons d'augmenter le rendement de la taxe sur les transactions financières, pour qu'elle serve plus encore l'économie réelle et permette de lutter davantage contre la pauvreté et le réchauffement climatique. L'amendement vise donc à relever le taux de la taxe sur les transactions financières de 0,3 % à 0,6 %, et d'en élargir l'assiette aux transactions intrajournalières.