Au même titre que l'on se préoccupe de la réforme de l'ÉNA devenue INSP, on doit se préoccuper des IRA, qui font un travail remarquable. Je vous invite à leur rendre visite pour vous en rendre compte.
Nous avons reçu les directrices et directeurs des IRA, qui ont à cœur de promouvoir l'attractivité du territoire et de faire naître le sens de la citoyenneté et de l'intérêt général. Or les IRA sont sous tension : chaque établissement fonctionne en moyenne avec 20 ETP. Je propose d'affecter 1 ETP supplémentaire dans chaque IRA pour soulager leurs directrices et directeurs. Le coût de la mesure est dérisoire : 450 000 euros.
De même que précédemment, je propose de prélever la somme sur le programme Performance et résilience des bâtiments de l'État et de ses opérateurs, dont les crédits ne sont jamais totalement consommés. Ce transfert de 450 000 euros ne nuirait en rien aux travaux réalisés dans les cités administratives, mais aiderait considérablement les directeurs et directrices des IRA.