Sur le volet européen, il est tout de même problématique, dans la conjoncture actuelle, de contribuer plus que nous recevons.
Du point de vue macroéconomique, l'exécution du plan devait être urgente ; elle est pourtant loin d'être achevée alors que, d'un point de vue économique, nous sommes revenus à la situation antérieure à la crise sanitaire. Cela représente de l'argent, de la dette, alors que les taux sont beaucoup plus importants, et de l'inflation.
Enfin, ce dispositif aurait dû être plus orienté en direction des PME, dont on sait qu'elles doivent grandir en France pour devenir des entreprises de taille intermédiaire afin que notre tissu économique soit plus résilient.