Nous ne nions pas l'importance de ces sujets, qu'il s'agisse de la revalorisation du statut des accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) ou des auxiliaires de vie, mais les droits de ces professionnels découlent, pour la plupart, de conventions collectives privées. Nous sommes tous déterminés à faire évoluer la situation mais il serait préférable de renvoyer ces sujets à la négociation plutôt que d'interférer dans le dialogue social entre les syndicats et les patrons. La commission des affaires sociales pourrait lancer une mission d'information ou une mission flash pour approfondir la réflexion.