Il s'agit là encore de sortir d'une certaine naïveté. Dans les années 2000, on était dans l'utopie, le doux commerce, on déliait les aides, nos crédits servaient parfois à financer des opérations réalisées par des opérateurs chinois ou turcs. On s'aperçoit maintenant que chacun défend ses intérêts – ce qui est d'ailleurs légitime. On redécouvre que l'histoire est tragique.
Nous perdons ainsi des parts de marché dans certains des pays que nous aidons. Or il convient aussi de défendre nos industriels. L'objet du présent amendement est d'obtenir des informations sur le sujet. Je précise qu'il s'agit d'un simple indicateur, non d'une condition.