Nous considérons, comme d'autres forces politiques, que notre domaine maritime est une force au service de la puissance française. Malheureusement, la couverture des zones de surveillance maritime reste insuffisante, puisqu'elle est de 68 %. Par ailleurs, même si nous saluons la commande de nouveaux patrouilleurs outre-mer (POM), leur livraison prochaine ne permettra que de maintenir la surveillance actuelle alors qu'il faudrait l'accroître, notamment dans la zone Antilles-Guyane et dans le canal du Mozambique, autour de Mayotte. Aussi proposons-nous de voter des crédits permettant de commander des patrouilleurs supplémentaires, d'améliorer le taux de couverture de nos zones de surveillance maritime et de renforcer les patrouilles là où les enjeux de sécurité et de souveraineté l'imposent.