– la CGT, la CFDT, FO et l'UNSA : or Mme la Première ministre – cela devrait vous parler – a dit que, désormais, durant cette deuxième législature des macronistes, les syndicats seraient écoutés. Comme le précédent, le présent amendement conditionne donc les exonérations, mais cette fois à l'existence d'un écart salarial maximum de 1 à 20 au sein d'une même entreprise. J'ajoute que les exonérations de cotisations représentent 90 milliards d'euros accordés chaque année aux entreprises : il serait absurde d'en faire bénéficier des entreprises acceptant des écarts de salaires aussi délirants. J'imagine donc que vous accepterez cet amendement.