Monsieur le ministre délégué, je vous remercie pour votre soutien. C'est vrai que j'avais d'abord demandé 5 millions d'euros. On me propose la moitié. Je suis preneur. Vous avez raison, monsieur le ministre délégué, de dire que c'est devenu mon combat. Il ne date pas d'hier : je le mène depuis déjà vingt ans. Je me souviens de votre réaction quand je vous ai dit qu'à Wallis-et-Futuna, le minimum vieillesse était de 120 euros et de 150 pour les personnes handicapées. Ces chiffres, je ne les ai pas inventés. Je remercie le président de la collectivité, qui a fait le déplacement pour les confirmer. Les Français de Wallis-et-Futuna n'arrivent pas à vivre avec 120 euros ou 150 euros.
Merci beaucoup. Nous venons de gagner une bataille, mais le combat n'est pas fini. Je demande à tous les collègues présents de voter l'amendement.