La commission a émis un avis défavorable.
Premièrement, des crédits supplémentaires ont été portés au budget pour faire face à la hausse des prix et notamment des coûts de l'énergie. Deuxièmement, il est difficile de prévoir aujourd'hui ce que vont être la dépense et les besoins réels sur 2023, et il paraît préférable d'ajuster les crédits au cas par cas dans une loi de finances rectificative que de faire une provision. Troisièmement, certains établissements ont des noisettes de côté, si je peux me permettre cette expression, dans la mesure où les subventions obtenues pour 2022 dans le cadre du plan de relance étaient fondées sur des perspectives de fréquentation inférieures à ce qu'a été la fréquentation réelle.