L'établissement ne fermera pas pour autant puisque, dans le pire des cas, si le gestionnaire fraudeur qui espérait se faire plein d'argent s'en va faute de financements publics, donc de moyens suffisants, l'État le reprendra et le fera sans doute beaucoup mieux fonctionner. Nous avons la possibilité, chers collègues, de dissuader la fraude dans nos établissements médico-sociaux qui, je le rappelle, s'occupent d'êtres humains et qui ont besoin d'être pourvus d'un cadre adapté qui signifie à leurs dirigeants :
« Non, tu ne frauderas pas ;
« Sinon, sanction il y aura. »
Voilà le sens de notre amendement et c'est bien pourquoi vous le voterez tous !