J'ai déjà répondu, tout à l'heure, au non-sens des attaques consistant à présenter comme un acte d'autorité l'utilisation d'une prérogative prévue depuis près de soixante-cinq ans dans notre Constitution. Il y a un peu plus de cinq ans, certains, dans les rangs de la NUPES, trouvaient légitime d'utiliser cet outil constitutionnel alors même que le Gouvernement disposait d'une majorité absolue.