Voici la question que nous voulons réellement poser : tout ce qui est crucial pour l'avenir de notre protection sociale sera-t-il décidé en dehors du Parlement, sans débat ni vote ? Nous ne pouvons nous y résoudre. C'est pourquoi nous continuons d'appeler à la reprise de nos discussions sur la quatrième partie du projet de loi, celle qui concerne les dépenses.
Madame la Première ministre, nous, nous ne craignons pas de retourner devant nos électeurs.