Vous l'aurez compris : nous ressentons avant tout de la déception, que dis-je, de l'indignation : indignation à la lecture du budget que vous dépouillez année après année, indignation de ne même pas pouvoir faire entendre une voix différente de la vôtre. Vous nous dites souvent que nous n'avons pas le monopole du cœur. Soit, mais vous n'avez pas celui du sérieux, comme vous n'avez pas celui du travail parlementaire, et le nôtre mérite d'être respecté !