Vous refusez d'investir, vous refusez d'anticiper, vous refusez de débattre et de reconnaître cette nouvelle assemblée. Votre majorité était d'ailleurs absente lors du début de l'examen de ce texte, et c'est votre ministre de la santé qui a dit ici même : « […] le débat est à vous »… avant que vous, madame la Première ministre, ne le confisquiez sans même laisser passer une journée de travail dans l'hémicycle.