Mme Réus, je souhaite revenir sur vos propos concernant les formations. J'ai été particulièrement touchée par votre insistance sur l'importance de rappeler le cadre juridique et légal dès le début des formations. Vous avez souligné que ni les encadrants ni les élèves ne distinguent la gravité des différentes agressions. Cela m'interpelle profondément. Selon vous, est-ce un problème d'éducation initiale au sein des familles, un dysfonctionnement au niveau de l'éducation nationale, ou bien le reflet d'une tolérance généralisée dans notre société ? En fin de compte, cela questionne la manière dont notre société perçoit et traite la condition féminine.