Vous venez d'expliquer que nous ne pouvions pas mettre fin aux importations de poulet ukrainien parce que nous ne disposons pas de la capacité de production correspondante. Or ces importations ont très sensiblement augmenté au cours des dernières années. Vous avez d'ailleurs soutenu la fixation de quotas qui ont fait débat, dans la mesure où la période de référence retenue, en partie postérieure au déclenchement de la guerre en Ukraine, intègre déjà une part de cette augmentation.