D'ailleurs, les utilisateurs de ces moyens de transport onéreux les louent davantage qu'ils n'en sont les propriétaires.
Quant au secteur aérien commercial, évoqué par M. le ministre délégué, rappelons que l'on trouve aujourd'hui des billets d'avion pour Rome ou Londres à 40 euros, soit un prix fort éloigné du coût réel d'un viol ,