Je reviens sur les réponses que vous avez apportées concernant la betterave. Vous avez mentionné les recherches que l'INRAE a menées sur la génétique, avec des résultats apparemment encourageants. Il est en effet surprenant que les semenciers n'aient pas exploité ce travail. À l'époque, les néonicotinoïdes étaient encore autorisés, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui. Maintenant que cette solution est interdite, un problème de rendement a-t-il été constaté ? Ces nouvelles solutions génétiques sont-elles moins efficaces que les autres sur le plan du rendement ?