Aujourd'hui, nous attendons une subvention pour reprendre les études menées par le CEA et le CEP sur l'atoll de Tureia. Il s'agit de repartir des travaux réalisés par les chercheurs de l'époque, l'État et le CEA ayant refusé de répondre aux questions qu'on leur a posées – comme l'INSERM vous l'a dit du reste. Aussi serait-il judicieux de les interroger directement sur ce point. Pourquoi tant de silence ? Pourquoi cette surdité face à notre cri ? Actuellement, nous essayons d'identifier les substances auxquelles nous avons été exposés. En France métropolitaine, des chercheurs spécialisés dans le nucléaire peuvent apporter des éclaircissements concrets sur les pathologies résultant de diverses expositions de nos organes à différents types de radiations nucléaires.