En 2000, nous avons entrepris une mission spécifique avec une équipe de médecins. L'ensemble des médecins locaux se méfiaient considérablement du registre tel qu'il se présentait à l'époque, du temps de M. Gaston Flosse, en particulier parce qu'ils doutaient de son indépendance. Par conséquent, ils ne le consultaient pas. Les techniques de constitution de ce registre étaient par ailleurs largement insuffisantes. Nous avons donc pris l'initiative d'examiner toutes les archives et dossiers médicaux disponibles, passant en revue 10 000 échographies, entre autres. Nous sommes restés sur place pendant six mois. Une fois le registre remis en état, il a commencé à être utilisé normalement. Bien qu'il subsiste encore quelques problèmes de qualité, ceux-ci sont en cours de résolution.