Ce qui circule sur les réseaux sociaux, ce que les organisations agricoles ont médiatisé ces cinq derniers mois, ce n'est rien : c'est une langue de bœuf à tel endroit, une côte de porc à tel autre. Ne perdons pas notre temps avec des cas qui restent tout à fait marginaux. Il peut nous arriver d'avoir des ruptures de fourniture, mais la volonté de l'enseigne, à tous les niveaux, est de favoriser le porc 100 % français. Je crois que l'on manque un peu de langue de bœuf en France et de quelques autres morceaux dans la région de Bordeaux : cette information a été vue un million de fois sur internet, mais c'est toujours de la même langue de bœuf qu'on parle. C'est un peu ridicule.