Sans vouloir botter en touche, je crois que la situation est très différente entre un Leclerc – ou un magasin U, d'ailleurs – à Paris et en province. À Paris, on fait beaucoup appel à Rungis, où 40 % à 60 % des fruits et légumes peuvent être importés. Comme cette proportion varie selon les saisons et les arrivages, il est très difficile de donner des chiffres précis. Globalement, si l'on prend en compte la moyenne française, et dans la mesure où nous sommes surtout implantés en province, je pense que nos chiffres valorisent notre rôle d'ambassadeur des productions françaises.