Plusieurs représentants de cette filière m'ont accompagné lors d'une visite au Maroc, au cours de laquelle nous avons évidemment pu échanger.
La difficulté est plutôt de trouver un terrain d'entente avec l'autre partie. La question de la souveraineté ne doit pas être traitée de façon cloisonnée : il existe avec le Maroc d'autres sujets agricoles que celui de la tomate. Les accords sont globaux et concernent également la filière bovine, les céréales, la potasse. Il faut trouver un équilibre et envisager l'ensemble des sujets.
La filière tomates connaît en outre des difficultés en matière de compétitivité interne.