Il n'y a aucune antenne du Civen à Tahiti ; nous le déplorons depuis des années. La moindre des choses serait d'implanter une structure à proximité des victimes. Nous espérons que ce sera fait à l'avenir.
Nous avons rencontré certains référents de la mission « aller vers » qui se rendent dans les foyers pour aider à la constitution des dossiers. Nous apprécions que la mission mette en avant la jeunesse polynésienne, qui maîtrise les langues française et polynésiennes, ce qui facilite leur contact avec les victimes. Notre association fait la même chose.