A priori, non. Le principe est que toutes les activités attribuées à l'ASNR se poursuivront. Ce point a été débattu lors de l'élaboration de la loi.
Les activités qui ne sont pas attribuées à l'ASNR sont de deux ordres. Il s'agit d'abord de la dosimétrie – l'IRSN fabrique et vend 1,2 million de dosimètres par an à 25 000 clients, dont l'Assemblée nationale, où notre dispositif équipe les tunnels de contrôle des bagages –, qui sera attribuée au CEA. Il s'agit ensuite des activités de défense et de sécurité, qui rejoindront le ministère des armées. Les autres activités, notamment l'évaluation de l'impact des essais sur les personnes et sur l'environnement se poursuivront, au moyen notamment du Lese.