Sans nul doute.
La question qui nous occupe actuellement est donc l'évaluation de l'exécution du premier semestre en vue de prendre les meilleures décisions possibles.
La politique consistant à annoncer des montants pour marquer les esprits, sans avoir les moyens ou la capacité d'assurer les dépenses, ne fut efficace qu'un temps. Telle n'est pas notre démarche. Nous avons d'ailleurs trop souvent omis de communiquer sur nos résultats. C'est particulièrement vrai en matière d'écologie, où le disque rayé de la supposée inaction climatique rencontre la polyphonie de ceux qui optent pour un climatoscepticisme de bon ton, mélangeant météo et climat. Ces deux petites musiques se répondent et couvrent parfois le fait que notre pays progresse et obtient des résultats.
Nous avons enregistré des résultats inédits sur le mix énergétique soutenu par le nucléaire, par des investissements constants et la cohérence de nos actions, ce qui contraste nettement avec ceux qui, par le passé, ont beaucoup parlé et très peu agi.