Nous avons aussi rendu récemment des décisions sur des produits à base de glyphosate qui avaient été autorisés dans le cadre de l'ancienne approbation – décidée en 2017 pour une durée de cinq ans et qui expirait donc en 2023. Une fois la substance approuvée, il fallait examiner les produits. C'est un mécanisme un peu technocratique, je vous l'accorde. Un autre État membre, rapporteur zonal, nous a envoyé très tardivement ses conclusions sur des dossiers de ce type en cours d'examen. D'où nos décisions récentes sur des produits autorisés à cette période. Le calendrier peut étonner, mais nous dépendons aussi de celui des uns et des autres.