Je n'ai pas à l'approuver ni à le désapprouver. L'essentiel est que la représentation nationale et l'autorité judiciaire, à qui l'on doit rendre des comptes, puissent faire leur travail en toute indépendance. Que le secret demeure pendant 10, 50 ou 165 ans, je ne vois pas ce que cela change aux pouvoirs dont vous disposez pour faire la lumière sur tel ou tel dossier.