Pour moi, les mobilités, ce n'est pas le train contre la route ; nous avons besoin des deux. L'objectif est incontestablement de pousser plus de gens à adopter les mobilités collectives, mais il faut tenir compte des réalités : en Occitanie, 95 % des déplacements se font par la route. Vous me demandez si j'ai été informé, en 2016, de l'absence d'étude envisageant une solution ferroviaire : je ne l'ai pas été. Cependant, je sais de quel territoire vous êtes élue et je considère que les deux types d'infrastructures répondent aux besoins locaux.