Vous vous fondez sur les études du PNRI et les experts ; nous, nous avons auditionné les acteurs de la filière betterave qui nous ont dit qu'ils avaient fermé une sucrerie l'année dernière et qu'ils allaient probablement en fermer une autre cette année. Des agriculteurs sont en train de se tourner vers d'autres productions. Ils ne le font pas pour embêter le monde mais parce qu'ils sont dans une impasse. Vos alternatives sont déconnectées des réalités économiques du terrain et ne sont pas tenables. Il faut des solutions efficaces et rentables face au sucre ukrainien. Combien de temps allez-vous rester aveugles à la réalité du terrain ?