L'ODG et l'interprofession champagne sont très bien organisés en matière de fraude. Nous travaillons activement avec eux. Lorsque nous menons des actions pour lutter contre la fraude, elles sont financées à 50 % par l'INAO et à 50 % par l'ODG. Je n'ai pas de chiffre précis à ce sujet mais je dirais que 20 % à 30 % des dossiers concernent le champagne. Cet état de fait s'explique également par de très fortes exportations et une activité élevée en matière de protection. Cet exemple peut être mis en avant. Après le covid, lorsque le commerce international a repris, le nombre de dossiers de contrefaçon a également augmenté.