L'accélération de l'endettement est indubitable, mais elle s'inscrit dans un phénomène continu : je constate depuis 1993 que le désendettement n'est pas prioritaire, même pendant la période où le désendettement était possible et cet état d'esprit est partagé par les gouvernements de droite comme de gauche.
Je constate une très forte accélération depuis 2017. Nous avons certes voté, sans aucune interrogation, les lois de finances rectificatives en 2020, mais le « quoi qu'il en coûte » aurait dû être arrêté plus tôt.