Pour en finir avec les exemples positifs recensés en Québec, je souhaiterais faire part d'une dernière remarque au sujet des structures professionnelles. Nous étions en présence de petits groupes d'enfants bénéficiant d'un véritable espace dédié et d'un accompagnement pensé pour chaque besoin spécifique. En particulier, les structures étaient adaptées aux problématiques psychiatriques. En France, cependant, nous manquons d'une réflexion en profondeur à ce niveau.